UNE ANNÉE après sa parution, une note de la Conférence des évêques sur la rédaction des actes de baptême revient sur le devant de la scène, à la suite d’incompréhensions venues d’interprétations abusives. La note, signée par Mgr Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, suggère que les nouveaux formulaires pour l’enregistrement des actes de baptême ne comprennent plus les mentions de « père », de « mère » ni de « fils » et « fille » pour tenir compte de « la situation de plus en plus complexe des familles ». Que faut-il retenir et comprendre de cette volonté de changement ? La doctrine de l’Église sur le baptême et le mariage aurait-elle changé ? Pour saisir le sens de cette recommandation, il faut revenir au sens du baptême et aux conditions requises pour qu’un enfant soit baptisé.
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Une note de la Conférence des évêques de France recommande une nouvelle rédaction des actes de baptême. Le but est de mieux répondre aux « situations nouvelles » des familles qui demandent le sacrement pour leur enfant. Traditionnellement, la priorité de l’Église est l’accueil de l’enfant. En aucun cas, il ne s’agit de modifier les conditions requises pour obtenir le baptême… ou le mariage. Mes explications pour Aleteia.

UNE GRANDE FIGURE de l’Église de France s’en est allée. Derrière ses grilles, Mère Myriam de la Trinité, prieure du Carmel de Cognac, veillait sur des milliers de destins. , âmes d’élites ou cabossés de la vie, tous membres d’un invraisemblable réseau de libertés singulières voulues pour laisser leurs traces au service de l’Église, de la France ou plus simplement du quotidien, dans la pauvreté de leur condition. Mère Myriam était au centre de l’Étoile. Elle ne demandait rien mais savait tout, partageait la vie de tous jusque dans ses détails les plus humbles, avec une céleste humanité. Du fond de son cloître, grâce à ses multiples fils et filles spirituels, elle n’ignorait rien de la vie de l’Église et du monde.
UN EVEQUE (ou un archevêque) ne démissionne pas de sa fonction, il « renonce » à son « office ». Selon le
C’EST UN RITUEL. Avant chaque grande échéance électorale, les évêques de France invitent les catholiques à réfléchir à leur responsabilité politique. Par leur propre réflexion, ils appellent aussi les Français à prendre du recul sur l’actualité pour se poser les questions qu’ils pourraient ne pas se poser…